Qui suis-je ?
Antoine Duhamel, 43 ans, directeur artistique freelance et créatif couteau suisse à deux pattes.
Quelle est ma passion ?
J’ai toujours aimé créer, sous quelque forme que ce soit. Je suis un touche-à-tout. Photo, vidéo, branding, graphisme, webdesign, musique… Tout ce qui permet de créer et de m’exprimer me passionne.
Mon parcours a été varié, je suis passé d’études en arts appliqués et de design industriel à une agence de communication print, d’une petite agence d’architecture d’intérieur à une agence web pour finir par me lancer en freelance il y a quelques années.
C’est certainement à cause de ce parcours un peu « farfelu » que j’aime aujourd’hui pouvoir intervenir dans divers domaines. À cela s’ajoute la passion du voyage, de la découverte d’autres cultures. C’est dans la différence que l’on trouve toute la richesse.
Qu’est-ce que l’art pour moi ?
Une façon de m’exprimer et de me défouler, de tester de nouvelles pistes de création même si je ne suis pas le plus loquace dès qu’il s’agit d’arts plastiques purs et durs ! Je préfère généralement les pixels à la peinture acrylique.
De quoi je m’inspire ?
De la veille constante que je fais sur le web et sur les réseaux sociaux et des échanges que je peux avoir avec mon entourage. Être créatif veut dire ne pas avoir d’horaires. Le métier ne s’arrête pas une fois la porte du bureau fermée. Il faut toujours avoir les yeux ouverts, pris dans un questionnement constant sur ce que l’on voit, ressent, comprend.
Cette veille active est l’une des qualités nécessaires pour ce métier, avec la culture générale. Elle permet de répondre mieux, plus vite, et est généralement le moteur de mes idées.
Comment ai-je vu évoluer mon travail au fil du temps ?
Mon travail, comme beaucoup, ne peut se reposer sur les acquis du passé. Les techniques, les outils, les sources d’inspiration sont sans cesse en mouvement et mon travail évolue avec. Je suis un peu le liquide qui va s’adapter tantôt au contenant qu’est la création vidéo, tantôt au webdesign, tantôt à la production d’images via les outils IA et ainsi de suite. C’est très prenant et chronophage, mais c’est ce qui fait que ce métier est aussi passionnant.
Quels sont mon processus créatif et mon rapport à l’IA ?
Tout part toujours d’une idée singulière. Sans vraie idée, sans concept, l’IA ne sert à rien. Une fois cette idée bien ancrée, s’en suit un travail de veille, de construction des process qui arriveront au résultat final.
Quel sont les outils adaptés ? Quels sont les applis que je peux mettre en œuvre et qui vont se compléter à merveille ? C’est une sorte de bataille constante en mode multitâche. Un « voyage » où parfois on tombe dans une impasse. Mais il y a toujours des solutions, quand on ne sait pas résoudre un problème : on le contourne ! C’est souvent là que la créativité entre en jeu.
L’IA est un formidable accélérateur de ses idées. Mais il ne faut pas tout baser là-dessus. L’IA ne remplace pas notre travail : elle l’augmente de façon considérable.
Quelles sont mes qualités ?
Question piège comme à un entretien d’embauche ? Je dirais passionné, ouvert sur les autres et perfectionniste (ce qui, ajouté à mon côté « control freak » est parfois lourd à porter ! 😄)
Mes objectifs futurs ?
Pouvoir continuer à explorer ce nouveau monde qui s’offre à nous avec toutes les avancées technologiques du moment. Sans oublier le vrai monde, dont j’ai encore bien des recoins à découvrir.