Nature du service
Assistant d’IA de xAI, très lié à la plateforme X (ex-Twitter). Ton plus provocateur que ses concurrents. Accès directement dans X, en version texte et parfois multimédia.
Public en France
Utilisateurs réguliers de X, profils plutôt technophiles, journalistes, entrepreneurs du numérique. Usage encore marginal comparé à ChatGPT ou Gemini, mais très visible médiatiquement.
Où vont les données
Les prompts et conversations d’un utilisateur français partent vers des supercalculateurs installés aux États-Unis. Les grands clusters GPU se trouvent notamment dans des datacenters à Memphis et Atlanta. Les logs, métadonnées et traces d’usage restent ancrés dans cette infrastructure américaine.
Juridiction
Entreprise américaine, pilotée depuis les États-Unis. Aucun effort particulier de régionalisation affiché pour l’Europe.
Zone grise
Les conditions d’usage restent changeantes, dans la lignée de la communication de X. La transparence sur la durée de conservation réelle et sur l’usage précis des données d’interaction reste faible.
Sommaire du dossier
IA grand public, données très privées
Les IA que les Français utilisent ne vivent pas en France
Cloud Act contre RGPD
État, hôpitaux, banques : comment les acteurs sensibles français négocient leur usage de l’IA
Les Français racontent tout à l’IA
Mistral, Proton et la tentation d’une IA européenne
Fiches
Fiche Microsoft Copilot
Fiche OpenAI ChatGPT
Fiche xAI Grok
Fiche Google Gemini
Fiche Mistral AI
Fiche Anthropic Claude
Fiche Meta AI
Fiche Proton Lumo

























